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Profession: chasseur immobilier

«
On évalue le nombre de chasseurs immobiliers à plusieurs centaines, ­répartis sur toute la France avec un peu plus de 100 chasseurs à Paris et dans la région parisienne» selon Céline Thieriet, cofondatrice de Perle Rare. Daenin Arnee

FOCUS - Stéphane Plaza a quelque peu démocratisé ce métier avec son émission «Chasseurs d’appart’», mais il demeure méconnu du grand public. Découvrez les subtilités de cette activité et son intérêt pour les acheteurs.

«C’est un marché de niche, qui a vu le jour en France il y a vingt ans. On évalue le nombre de chasseurs immobiliers à plusieurs centaines, répartis sur toute la France avec un peu plus de 100 chasseurs à Paris et dans la région parisienne (contre 42.000 agents immobiliers, NDLR)», dénombre Céline Thieriet, cofondatrice de Perle Rare, qui compte 25 chasseurs, à Paris et en banlieue proche, afin de dénicher des biens haut de gamme. À l’inverse, chez nos voisins anglo-saxons, le métier est bien connu, et ce depuis les années 1980. La majorité des transactions anglo-saxonnes font intervenir un agent immobilier, qui représente le vendeur, et un buyer’s agent, littéralement «agent de l’acheteur», qui roule pour l’acquéreur. «Ce n’est pas dans notre culture. Nous sommes plus réticents au service», assure Céline Thieriet.

Mais quel est l’intérêt de recourir à un chasseur immobilier? «Il est les yeux et les oreilles de l’acquéreur, le temps de sa recherche de bien, il s’assure qu’il achète au juste…

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