La France accélère dans la bataille de l'hydrogène
Élisabeth Borne a dévoilé le nom de dix entreprises qui bénéficieront de 2,1 milliards d'euros de subventions.
« Nous avons besoin d'une énergie compétitive, durable, souveraine. Et au croisement des transitions énergétique et industrielle, se trouve l'hydrogène. » Élisabeth Borne s'est voulue offensive, mercredi, en visitant le centre de R&D Alphatech de l'équipementier automobile Plastic Omnium, à Venette, dans l'Oise. Et pour souligner cette ambition, la première ministre était accompagnée de Bruno Le Maire, ministre de l'Économie et des Finances, d'Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, de Roland Lescure, ministre délégué à l'Industrie, et de Laurence Boone, secrétaire d'État chargée de l'Europe.
L'hydrogène est perçu comme cochant beaucoup de cases dans la transition énergétique et la réindustrialisation de la France. C'est pourquoi le gouvernement y met tant de moyens. « Nous nous sommes fixés des objectifs ambitieux : faire de la France le leader de l'hydrogène décarboné, affirme Élisabeth Borne. Pour y parvenir, il fallait investir massivement. C'est ce que…
Oskar Lafontaine
le
Ce ne sera jamais, avec l'hydrogène au lieu de l'électrique sur accumulateurs, que peine et argent, perdus.
Oskar Lafontaine
le
L'hydrogène n'est qu'une "solution" très partielle, car l'hydrogène doit d'abord être produit, avant de pouvoir être utilisé ou stocké, et cette production ne peut se réaliser, sans rejet de gaz carbonique et à très faible coût, que par l'utilisation des renouvelables que sont le solaire (qui est le moins onéreux) l'éolien, et l'hydraulique.
Calamity Jane
le
Tout dépend des modes de fabrications comme de l'origine de l'électricité (renouvelable ou non).