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Education

L’école, premier lieu de cristallisation du sexisme

Publié le 11/10/2022 • Par Hélène Huteau • dans : A la Une Education et Vie scolaire, Actu expert Education et Vie scolaire, France

Education à la sexualité et à la vie affective
michaeljung@163.com
La journée internationale du droit des filles, ce mardi 11 octobre, est un sujet aussi en France. Face aux représentations des jeunes de la vie sexuelle et affective, l’école est mise en cause par l’Inspection générale de l’éducation et le Haut conseil de l’égalité homme-femme. Le ministre entend remettre le sujet sur la table, huit ans après l’échec des ABCD de l’Egalité.

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Cinquante ans après son instauration dans les programmes, l’éducation à la sexualité et à la vie affective reste trop souvent un tabou en France. Elle est mal appréhendée par les enseignants et peu appliquée, selon une mission menée par l’Inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche (IGESR)(1).

« Moins de 15 % des élèves bénéficient de trois séances d’éducation à la sexualité pendant l’année scolaire, en école et au lycée (moins de 20 % en collège) », alors que ces trois séances sont le minimum prévu par la loi, que ce soit par des enseignants, des personnels de la santé scolaire ou des intervenants extérieurs agréés.

Fin septembre, le ministre de l’Education Pap Ndiaye a déclaré vouloir remettre le sujet sur la table, en rendant public ce rapport (dévoilé par ...

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