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Analyse

Le « job crafting » pour lutter contre le « quiet quitting » et les démissions 

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Les salariés ont changé et c'est un nouveau pacte, satisfaisant tant l'entreprise que les collaborateurs aux attentes évolutives, qu'il faut se dépêcher de trouver. Peut-être sur la base de ce nouveau concept, le « job crafting ».

Pas question pour les adeptes du « quiet quitting » de prendre de responsabilités supplémentaires. Ils se contentent de respecter à la lettre le contrat de travail. Ni plus ni moins.
Pas question pour les adeptes du « quiet quitting » de prendre de responsabilités supplémentaires. Ils se contentent de respecter à la lettre le contrat de travail. Ni plus ni moins. (iStock)

Par Muriel Jasor

Publié le 20 oct. 2022 à 06:45Mis à jour le 25 oct. 2022 à 14:56
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« Great resignation », « quiet quitting »… Les Anglo-Saxons ont, depuis toujours, le sens de la formule qui claque. Ainsi, par sa concision conceptuelle, le « quiet firing » frappe davantage l'esprit que la mise au placard à la française. Beaucoup s'émeuvent de cette déferlante de « quiet », de « great » et autres anglicismes mis à toutes les sauces, arguant qu'il ne s'agit là que vieilles lunes remises au goût du jour.

Démissionner avec pertes et fracas ou en catimini, en faire le minimum au travail, être découragé(e) et poussé(e) vers la sortie par son manager… Tout cela ne date pas d'hier ! Oui, mais le Covid-19 et l'application TikTok ont changé la donne. Les salariés, aux vécus disparates durant les confinements successifs, ont beaucoup cogité.

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