Publicité
Réservé aux abonnés

Profession: styliste de rappeurs

Le rappeur français SCH, très reconnu pour son look, arrivant au défilé Jacquemus en juin 2021. Edward Berthelot/Getty Images

ENQUÊTE - Ils ont moins de 30 ans, imaginent les looks de Ninho, SCH et Gazo, et sont de plus en plus suivis par les jeunes fans… comme par les marques de luxe, qui ont pris conscience de leur influence.

Vous ne connaissez certainement pas son nom, mais il y a fort à parier que les adolescents de votre entourage ont déjà vu son travail. Louis Battistelli a 24 ans, et a habillé SCH, Lil Yachty et les membres du groupe Migos. Des grands noms du rap français et international qui ont sollicité ses talents de styliste pour des clips, des concerts et des photos dans des magazines. «J’ai débuté ma carrière alors que j’étais encore au lycée, raconte le jeune Français. Je me rêvais diplomate, me voyais faire de longues études. J’avais déjà un pied dans la mode car, adolescent, j’avais lancé ma marque de vêtements. J’ai eu l’opportunité d’assister un styliste de célébrités et j’ai apprécié l’exercice: j’ai très vite voulu faire pareil.»

En France, Anne-Sophie Da Fonseca, Edem Dossou, Axelle Gomila et Dada habillent, eux aussi, les artistes les plus populaires du moment - Ninho, Shay, SCH et Gazo. À l’étranger, les plus célèbres sont les Américains Matt Henson (qui travaille avec A$AP Rocky) et Taylor…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 84% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement.

Déjà abonné ? Connectez-vous

Profession: styliste de rappeurs

S'ABONNER
Partager

Partager via :

Plus d'options

S'abonner
6 commentaires
  • Antimacron

    le

    Je répète mon OM
    Es taire censuré : enfin quelqu’un qui sait exploiter ces incultes

  • anonyme 64306

    le

    Le vide attire le vide

  • Anonyme

    le

    Article passionnant

À lire aussi

Mode : l'érotisme à la française fait de la résistance

Mode : l'érotisme à la française fait de la résistance

Les danseuses du Crazy Horse chez Alaïa, l'iconographie de Helmut Newton pour Saint Laurent, la volupté de Toulouse-Lautrec revue par Margiela… Dans une époque de mode verrouillée par le puritanisme américain et des réseaux sociaux, les marques hexagonales jettent le trouble.