Publicité
Chronique

La mobilité internationale étudiante au service de l'urgence climatique 

Contenu réservé aux abonnés

Certains étudiants ne veulent plus prendre l'avion, même pour leur mobilité internationale obligatoire. Pourtant, propose Laurent Champaney, ils pourraient devenir des ambassadeurs de la cause environnementale auprès de leurs camarades des pays lointains et moins vertueux.

Une plage de Conakry en Guinée. Les mobilités étudiantes peuvent permettre de découvrir les problématiques des pays en voie de développement.
Une plage de Conakry en Guinée. Les mobilités étudiantes peuvent permettre de découvrir les problématiques des pays en voie de développement. (John Wessels/AFP)

Par Laurent Champaney (Directeur général de l'Ecole Nationale Supérieure des Arts et Métiers)

Publié le 17 nov. 2022 à 09:00Mis à jour le 17 nov. 2022 à 09:06
Réservé à nos abonnés

La première idée d'adaptation de son comportement personnel aux exigences de sobriété de la transition environnementale est de supprimer ou réduire drastiquement ses vols en avion, en particulier les long-courriers. Notre jeunesse étudiante, bien informée et souvent plus sensible à ces questions que ses aînés, est la première à s'interdire des voyages lointains, même dans le cadre d'une mobilité internationale imposée par leur cursus universitaire. Ce geste de sobriété les coupe cependant de l'opportunité de connaître le positionnement des jeunes qui vivent de l'autre côté de la planète, et dont les cultures et les aspirations sont radicalement différentes.

L'éveil aux autres cultures a été source de paix

Ce contenu est réservé aux abonnés Access et Premium

Analyses économiques et 100% des articles Patrimoine : l’offre Access est faite pour vous !

    Je débloque l'articleDéjà abonné ? Connectez-vous

    Nos Vidéos

    xx0urmq-O.jpg

    SNCF : la concurrence peut-elle faire baisser les prix des billets de train ?

    xqk50pr-O.jpg

    Crise de l’immobilier, climat : la maison individuelle a-t-elle encore un avenir ?

    x0xfrvz-O.jpg

    Autoroutes : pourquoi le prix des péages augmente ? (et ce n’est pas près de s’arrêter)

    Publicité