Les stocks dormants, la nouvelle obsession du luxe Contenu réservé aux abonnés
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La mode a longtemps ignoré ses « dead stocks ». Aujourd'hui, elle tente d'en tirer parti pour entrer dans une dynamique de recyclage. Un cercle vertueux qui pourrait profiter à la jeune création comme aux grandes maisons.
« L'industrie textile peut s'arrêter demain, il existe un peu partout des stocks pour m'approvisionner en belles matières pendant des décennies », assure Louise Drouhet, fondatrice du label Soubacq, qui réinterprète la veste de travail dans de luxueuses étoffes, en fonction des rouleaux de tissus dénichés ici ou là.
Ces dernières années, pléthore d'autres nouvelles marques ont émergé sur le même modèle économico-éthique : récupérer les « dead stocks » du secteur textile-habillement. Des griffes parisiennes Mister k. et Salut Beauté dans le prêt-à-porter féminin à Steven Passaro, Gunther ou Recoded by Alto dans la mode masculine en passant par Llosa ou Hopaal dans le sportswear.
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