Comment les trams et les métros se préparent au black-out Contenu réservé aux abonnés
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Tandis que les réseaux de bus seront globalement épargnés par des coupures de courant, les tramways ou les métros seront en position plus délicate. A la RATP, les postes à haute tension devraient permettre d'encaisser le choc pour le réseau métro.
Par Denis Fainsilber
Pour les transports en commun, la perspective d'une coupure de l'électricité quelques heures en fin ou début de journée, sur demande de RTE et Enedis, constitue un scénario totalement inédit. Et surtout semé de multiples embûches, qui restent à éclaircir localement avec les préfets.
Un mode sera préservé des difficultés durant ces journées rouges : les différents réseaux de bus alimentés au gazole, qui pourront continuer à rouler comme si de rien n'était. Un élément qui ne milite pas précisément pour la décarbonation des transports collectifs… Idem pour les bus 100 % électriques, logiquement alimentés de nuit au dépôt , pour le service du lendemain. A l'exception toutefois de certains bus articulés qui font de la recharge « en ligne » à plusieurs reprises, comme à Amiens ou Bayonne-Biarritz.
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