Dans les lycées d’Île-de-France, le bilan très contesté de Valérie Pécresse
L’annonce de la fermeture de plusieurs lycées à Paris mais également les images calamiteuses de l’état du bâti, dont la région est chargée, posent la question du bilan de la collectivité Île-de-France en matière scolaire. C’est l’heure des comptes pour Valérie Pécresse, elle qui n’a cessé de charger ses prédécesseurs de tous les maux.
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CertainsCertains symboles en disent long. Inauguré il y a six ans, le lycée Angela-Davis à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) n’a toujours pas officiellement de nom pour la région Île-de-France, qui tarde à afficher l’établissement scolaire sous le patronyme de la célèbre militante pour les droits des femmes et des hommes noirs américains. À l’entrée, les lettres du mot « Accueil » ont été bricolées par un agent du lycée, et rien n’indique l’emplacement de ce « bateau fantôme », selon la formule d’un enseignant, sur les panneaux de signalisation dans les rues de la ville.