Joaillerie : à Lyon, les écoles appuient sur l'accélérateur Contenu réservé aux abonnés
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150 diplômés sortent chaque année des formations en joaillerie en Auvergne-Rhône-Alpes. Il en faudrait au moins le double dans le deuxième bassin français de production de bijoux. Le secteur s'active.
Par Stephane Frachet
A la rentrée prochaine, la Haute école de la joaillerie s'implantera dans la capitale des Gaules. L'institution créée en 1867 par des bijoutiers parisiens, dont Frédéric Boucheron, forme plus de 600 personnes par an, du CAP BEP au master. « Lyon est le deuxième bassin de production de la joaillerie française, avec beaucoup de sous-traitants de grandes marques de luxe », explique Michel Baldocchi, directeur général de cet établissement indépendant affilié à l'Union française de la bijouterie joaillerie, déjà présent à Reims (Marne), non loin de la maison Cartier , et à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône).
Pour ce centre d'apprentissage, en formation initiale et continue, la Haute école de joaillerie loue 300 mètres carrés dans le 8e arrondissement lyonnais. Elle vise une trentaine d'alternants par an, dans un premier temps.
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