Nucléaire : autopsie d'un fiasco Contenu réservé aux abonnés
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Entendus ce jeudi par la Commission d'enquête du Parlement qui se penche sur les raisons de la déroute nucléaire française, Nicolas Sarkozy et François Hollande se renvoient la responsabilité. Leurs témoignages viennent clôturer une vaste opération transparence et règlements de comptes rare sur la scène politique.
Par Sharon Wajsbrot
L'affiche est inédite. La joute n'est pas directe mais elle n'en est pas moins brutale. Auditionnés ce jeudi à quelques heures d'intervalles par la Commission d'enquête du Parlement, Nicolas Sarkozy et François Hollande se renvoient la responsabilité de la déroute du nucléaire français.
Avant eux ont défilé sur ces bancs ministres, directeurs de cabinet, d'administrations, patrons d'entreprises - tous les protagonistes qui de près où de loin ont conduit la politique énergétique tricolore ces quinze dernières années - pour se prêter à un interrogatoire sur les raisons de la « perte de souveraineté et d'indépendance énergétique de la France ».
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