Concours d’éloquence : « Bien s’exprimer, ça donne confiance en soi »

À l’occasion du premier tour du concours international d’éloquence de l’université Panthéon-Sorbonne, ce lundi, nous avons demandé à d’anciens participants quels bénéfices ils en tirent dans leur vie de tous les jours.

Amélie Chassagne, étudiante en master de droit à Paris-I, a été deux fois finaliste du concours d'éloquence à Paris 1. LP/Philippe Lavieille
Amélie Chassagne, étudiante en master de droit à Paris-I, a été deux fois finaliste du concours d'éloquence à Paris 1. LP/Philippe Lavieille

    Oser prendre la parole, capter l’attention de son auditoire, ne pas avoir peur. À compter de ce lundi, plus d’une centaine de candidats s’affronteront à l’occasion du concours d’éloquence de Paris-I, la célèbre fac d’économie, droit et sciences humaines. Une compétition internationale dont la finale, ouverte au public, se tiendra le 23 mai sous la coupole du Panthéon. Objectif de l’université : « permettre à ses étudiants de développer des soft skills, comme la capacité de construire un argumentaire, d’organiser un discours ou encore de s’exprimer en public. Des compétences désormais essentielles dans le monde professionnel. »

    Depuis quelques années, ces joutes oratoires se multiplient dans les grandes écoles et les universités françaises, portées notamment par le succès du documentaire « À voix haute », une plongée au cœur du concours Eloquentia, organisé depuis 2012 en Seine-Saint-Denis.