Recherche : l'Inria veut multiplier les projets à impact
Sous la houlette de Bruno Sportisse, qui en a pris la tête en 2018, l'Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique a mis la souveraineté technologique au coeur de ses priorités. Si des tensions sont apparues en interne, elle a multiplié les projets avec les entreprises et les start-up.
Par Leïla Marchand
« C'est un retour aux sources pour l'institut ». Le PDG Bruno Sportisse le martèle : si l'Inria a pris un virage à 180 degrés depuis sa prise de poste en 2018, c'est pour mieux embrasser sa mission originelle, « faire de la recherche de très haut niveau qui ait un impact économique ».
Arrivé au bout de ses cinq ans de mandat, le polytechnicien dit avoir mené une transformation rapide de l'institut vers davantage de partenariats avec les entreprises, les start-up et en appui aux politiques publiques. « On est encore au milieu du gué, mais on a fait un pas dans tout ce que l'on voulait accomplir », confie aux « Echos » le dirigeant.
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