Comment Paris 2024 relève le défi des Jeux les plus verts de l’histoire

Avec un taux carbone divisé par deux par rapport aux éditions des Jeux précédentes, Paris 2024 entend servir de modèle pour l’organisation des futurs grands événements.

Transports, énergie, construction... Les organisateurs des JO 2024 s'engagent à réduire de moitié l'empreinte carbone des Jeux par rapport à ceux de Londres en 202 et de Rio en 2016. Ville de Paris/ Jean-Baptiste Gurliat
Transports, énergie, construction... Les organisateurs des JO 2024 s'engagent à réduire de moitié l'empreinte carbone des Jeux par rapport à ceux de Londres en 202 et de Rio en 2016. Ville de Paris/ Jean-Baptiste Gurliat 

    Notre dossier spécial « Les JO les plus verts de l’histoire »

    « Notre ambition est de montrer qu’un autre modèle est possible et de créer un héritage au service du sport et des grands événements. On n’a pas la prétention de dire qu’on est parfait mais en agissant collectivement, on peut faire les choses différemment. » Georgina Grenon, directrice excellence environnementale à Paris 2024, en est persuadée : il y aura un avant et un après en matière d’organisation des grands événements. « C’est le sens de l’histoire, notre candidature a été définie au moment de la signature des accords de Paris sur le climat, ça allait de soi d’aligner les Jeux sur ces accords », poursuit-elle.

    Si à Londres en 2012 et Rio en 2016, 3,5 millions de tonnes de carbone avaient été nécessaires pour organiser les Jeux, Paris 2024 entend de réduire de moitié l’impact carbone, relevant ainsi le défi d’appliquer dès 2024 les obligations 2030.