« Ça peut éviter les problèmes » : les lycéens de Livry-Gargan plutôt rassurés par la vidéosurveillance

Douze caméras ont été installées au lycée André-Boulloche, en Seine-Saint-Denis. Certains élèves découvrent sa présence. Pourtant, les caméras sont situées dans des zones dites « ouvertes », comme la cour de récréation, le parking à vélos… Reportage.

Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis), mardi 23 mai. Il y a deux ans, le proviseur, Radouane M’Hamdi, ici dans la loge d'accueil, a fait installer une douzaine de caméras au lycée André-Boulloche. LP/M.G.
Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis), mardi 23 mai. Il y a deux ans, le proviseur, Radouane M’Hamdi, ici dans la loge d'accueil, a fait installer une douzaine de caméras au lycée André-Boulloche. LP/M.G.

    « Établissement sous vidéosurveillance ». Cette inscription se lit sur une affiche jaune installée sur la porte de la loge d’accueil du lycée André-Boulloche de Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis). Juste au-dessus, sur un mur blanc, une petite caméra filme l’entrée de cet établissement où transitent, au quotidien, 1 500 personnes, dont 1 300 lycéens et étudiants en classe préparatoire et BTS.