French Tech : qui sont les fondateurs des « mafias » françaises ? Contenu réservé aux abonnés
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Le fonds de capital-risque Accel publie en partenariat avec Dealroom une étude sur les anciens salariés de licornes tricolores qui ont monté leur propre entreprise. Leur âge moyen et leur type d'études sont assez représentatifs de l'écosystème.
Par Charlie Perreau
Les licornes françaises font des bébés. De plus en plus d'employés de start-up françaises valorisées à plus d'un milliard de dollars partent créer leur propre entreprise. Un phénomène bien connu dans la Silicon Valley avec la « PayPal Mafia », qui a donné naissance à LinkedIn, Tesla ou encore YouTube. « La Silicon avait cet avantage par rapport à l'Europe depuis plusieurs décennies. Désormais, les licornes européennes sont de vraies usines à start-up. Cela montre que l'écosystème est mature », analyse Harry Nelis, associé chez Accel, un fonds de capital-risque américain qui fête ses 40 ans.
La French Tech en est un bon exemple. D'après une étude d'Accel en partenariat avec Dealroom dévoilée en exclusivité par « Les Echos », 25 licornes tricolores ont créé 142 start-up.
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