D’un côté, d’énormes ambitions proclamées haut et fort : « Sur le handicap, nous pensons que la France va se réveiller différente après les Jeux paralympiques », rapportait, fin mars, Michaël Aloïsio, porte-parole d’un Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (Cojop) de Paris 2024, qui fait le pari de Jeux « exemplaires en matière d’accessibilité universelle ». D’un autre, une déception déjà, alors que la flamme olympique n’est même pas allumée… « Paris 2024 était une chance pour les personnes en situation de handicap : pour l’accessibilité des transports en commun et des lieux publics, pour favoriser la pratique sportive de ces personnes, pour leur visibilité dans la société . Faut-il parler de cette ambition au passé ? La question se pose, tant le compte n’y est pas ...
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Sport et handicap : l'effet JO tarde à se faire sentir
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