Menu
Libération
CheckNews
Vos questions, nos réponses
CheckNews

L’éducation positive en débat : au-delà des clivages, que disent les chercheurs ?

Article réservé aux abonnés
Les scientifiques qui travaillent sur le développement de l’enfant ou les neurosciences déplorent un débat «confisqué» par un affrontement caricatural entre Isabelle Filliozat, papesse de l’éducation positive, et Caroline Goldman, figure des «anti». Et souhaitent rappeler que la science ne permet pas d’établir des recettes de parentalité prêtes à l’emploi.
par Vincent Coquaz
publié le 20 juillet 2023 à 10h32

Alors qu’un débat passionné sur l’éducation positive s’installe, Libération pèse les arguments scientifiques des opposants et partisans de cette approche. Nous avons soumis à des chercheurs ceux de la psychothérapeute Isabelle Filliozat, qui préfère «fournir aux enfants des ressources plutôt que des limites». Et ceux de la psy Caroline Goldman, qui, à l’inverse, veut rétablir «des limites éducatives».

A en croire certains tenants de l’éducation positive, «grâce aux neurosciences, à l’heure actuelle, on sait exactement ce qu’il faudrait pour que l’humain se développe bien». En face, les détracteurs ne sont pas en reste, avec des «feuilles de doute» pour rétablir des «limites» et ainsi «apaiser de façon pérenne les liens parents-enfants». Que ce soit à propos de la papesse de l’éducation positive Isabelle Filliozat d’un côté, ou de la psychothérapeute préférée de France Inter Caroli

Pour aller plus loin :

Dans la même rubrique