C’était l’une des annonces fortes de la Conférence nationale du handicap, à l’Elysée le 26 avril. Emmanuel Macron annonçait que les accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH), « qui le souhaitent, pourront avoir un temps plein et passer à 35 heures dès la rentrée ».
Comment ? Notamment en mettant à contribution les collectivités en leur demandant de recruter les AESH pendant les temps périscolaires. « Donc nous allons finaliser un accord [avec les élus locaux, ndlr] pour que [le recours aux AESH] soit pleinement valorisé. D’ici à la rentrée, la solution sera trouvée et financée », avait ajouté le président de la République.
Silence radio
Mais les choses ne sont pas allées plus loin. « Il n’y a pas eu de clarifications avec le gouvernement », rapporte Delphine Labails, maire (PS) de Périgueux (1) et coprésidente de la commission « éducation » de l’Association des maires de France (AMF). Fin juillet, l’élue n’avait pas encore eu de discussions avec le nouveau ministre de l’Education nationale, Gabriel Attal.
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