Baccalauréat en juin: une décision qui divise dans le supérieur
DÉCRYPTAGE - Les notes des épreuves de spécialité ne seront plus prises en compte dans Parcoursup.
«Bonne décision», «initiative attendue et salutaire», «mesure qui va dans le bon sens»… Le choix de l’exécutif de décaler les épreuves de spécialité du baccalauréat de mars à juin dès cette année a suscité une vague de satisfaction dans la communauté éducative. Enseignants, personnels de direction, parents d’élèves sont très nombreux à se féliciter du report de ces épreuves comptant pour 32% de la note finale du bac, et qui s’étaient tenues pour la première fois en mars l’année dernière. Quelques voix discordantes se font pourtant entendre. Parmi elles, celle de Pierre Mathiot, «père» de la réforme du lycée et du bac mise en place par Jean-Michel Blanquer. «C’est une mauvaise décision nécessaire», estime le directeur de Sciences Po Lille, avant de s’expliquer: «Je pense que ce n’est pas ce qu’il fallait faire, mais qu’il était difficile de faire autrement, au vu de la coalition très hétérogène qui poussait en faveur de juin.»
Parmi les syndicats d’enseignants se réjouissant du décalage des…
Juliens
le
C est exact . + 10000
anonyme
le
Pas facile de faire bouger un mammouth grabataire
anonyme
le
Nous aurions été surpris qu'une décision dans l'Education Nationale fasse l'unanimité !