
Les Français sont nombreux à étudier à l’étranger. L’Hexagone est le sixième pays « exportateur » d’étudiants, avec près de 109 000 jeunes partis en mobilité internationale en 2020, soit 25 % de plus qu’en 2015, selon les chiffres publiés en juin 2023 par Campus France, l’agence chargée de la promotion de l’enseignement supérieur français à l’étranger. Leurs destinations préférées ? Le Canada, la Belgique, le Royaume-Uni.
Pour qui part un semestre, un an ou plusieurs années se pose la question de la gestion de l’argent. Pour les étudiants s’installant dans l’un des vingt pays de la zone euro, c’est simple : le coût des opérations par carte bancaire est le même qu’en France. Les paiements sont donc gratuits. Si votre banque facture les retraits aux distributeurs hors de son réseau, vous paierez les mêmes frais que vous soyez en France ou ailleurs dans la zone euro.
« Les moins de 25 ans bénéficient parfois de retraits gratuits illimités, notamment chez BNP Paribas et dans certaines agences du Crédit agricole et de la Caisse d’épargne », précise toutefois Basile Duval, porte-parole du comparateur Panorabanques.
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