Robots
Cookies

Préférences Cookies

Nous utilisons des cookies sur notre site. Certains sont essentiels, d'autres nous aident à améliorer le service rendu.
En savoir plus  ›
Menu mobile Emploi Environnement
Fermer le menu mobile

Mon compte

recherche Emploi Environnement

Les ingénieurs généralistes sont attendus dans le photovoltaïque

Peu importent leurs connaissances en énergie, les ingénieurs généralistes possèdent un bagage suffisant pour intégrer les sociétés du photovoltaïque. Les postes d'ingénieur projet leur tendent les bras. Témoignage d'Alexandra Batlle, de la société Tecsol.

Interview vidéo  |  Energie  |    

Le solaire photovoltaïque se porte bien. En 2022, 2 652 MW de centrales solaires – petites et grandes – ont été construites et raccordées au réseau. Les trois régions dont le parc installé a le plus progressé en 2022 sont la Nouvelle-Aquitaine, l'Occitanie et Auvergne-Rhône-Alpes, avec des augmentations respectives de leur parc de 588 MW, 459 MW et 338 MW.

Au sol, sur les bâtiments ou en ombrières de parking, de nombreux projets sortent de terre. Et pour les dessiner, les sociétés du solaire misent sur leurs ingénieurs projet. Un métier complet, qui permet de suivre un projet de la conception à la mise en service en passant par la coordination des travaux, sans oublier le montage financier.

L'ingénieur projet doit donc avoir plusieurs compétences à son arc. « Savoir gérer de la donnée énergétique, être bon analyste, avoir un bon relationnel et savoir s'exprimer de manière claire » , explique Alexandra Batlle, secrétaire générale du bureau d'études Tecsol, spécialisé dans le solaire. Surtout que le métier a pris une nouvelle envergure ces dernières années avec un volet financier qui s'est étoffé. Si auparavant, les centrales photovoltaïques vendaient toute leur production à l'énergéticien historique (EDF), aujourd'hui les montages financiers sont bien plus variés, ce qui en fait un terrain de jeu intéressant.

Pour répondre aux nombreuses sollicitations, Tecsol recrute de préférence des ingénieurs formés aux énergies renouvelables ou provenant du génie climatique ou encore du génie électrique. Mais les ingénieurs généralistes ont également un bagage suffisant pour intéresser les entreprises de la filière. « Comme de nombreuses entreprises, je pense, nous avons un parcours d'intégration qui permet au nouvel arrivant de se former en interne. Nous sommes d'ailleurs centre de formation », explique Alexandra Batlle. De quoi accueillir et bien préparer les nouvelles recrues, quel que soit leur profil.

 
 
Nos marques :