Les petits réacteurs SMR, l’autre défi de la relance du nucléaire
Ces centrales innovantes pourraient rapidement bouleverser le paysage énergétique en remplaçant d’anciennes installations.
L’accès à une énergie quasiment inépuisable, décarbonée, restaurant la souveraineté et l’indépendance énergétique de l’Hexagone. Les promesses des petits réacteurs nucléaires SMR (Small Modular Reactor) sont multiples. Après avoir longtemps misé sur les réacteurs de grande puissance, en France, en Finlande, aux États-Unis, en Russie…, la filière a redécouvert les vertus de la faible puissance modulaire, les SMR.
Quand les EPR, réacteurs de prédilection d’EDF, peuvent allégrement dépasser les 1000 mégawatts (MW), les SMR affichent quelques dizaines voire centaines de mégawatts au compteur. «Les SMR introduisent une rupture dans le facteur de forme: ils sont plus petits, ils intègrent davantage d’éléments de sécurité passive», résume Valérie Faudon, déléguée générale de la Société française d’énergie nucléaire (Sfen).
Une vieille lune à portée de main
Rupture de forme, dans les usages, les implantations et dans les technologies. Certains SMR sont des réacteurs de troisième génération, comme les EPR. D’autres, les AMR (Advanced…
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Tatouzou
le
Vu les réactions du public à toute installation industrielle nouvelle, il faut s'attendre à un rejet systématique de tout projet de SMR, surtout avec la peur du nucléaire qui est un des fondamentaux de l'écologie politique.
plafalb
le
Cette technologie est certainement pleine d'avenir. Nul doute que nos écologistes idéologues feront tout pour la torpiller !
charly bravo 58
le
Si ces SMR sont si bien pourquoi, conrinuer a polluer le pays avec des éoliennes couteuses et qui servent a pas grand chose