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Des amphis pleins à craquer, des retardataires assis sur les marches et dans les couloirs, des étudiants perdus entre les salles de TD… Nathan avoue avoir été « intimidé » en arrivant à la fac de droit de Montpellier : « Nous étions plus d'un millier à débarquer du lycée, sans avoir les codes de l'université, il fallait jouer des coudes pour trouver une place. C'était presque une épreuve en soi. » Trois semaines plus tard, le problème était résolu. En janvier, les participants étaient même « clairsemés » dans certaines salles. La raison ? Abandons et réorientations, nombreux la première année. Selon le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, en 2021-2022, à Montpellier, 24 % des inscrits en L1 ont laissé tomber le cursus en cours de route.
Toutes les facultés de droit s...
C'est normal, parce qu'avec l'esprit tordu qu'a l'être humain, c'est dans cette discipline qu'il a le plus de chose à modifier, arranger en bien ou en mal d'ailleurs ! N'appelle-t-on pas ça faire de la jurisprudence ?
Qu’il manque d’infirmiers, de médecins, d’ingénieurs, de techniciens…
Toutes les professions qui brassent l’air et l’argent ont la cote auprès des jeunes.
Dure va être la re-industrialisation de la France promise par les politiques. La balance du commerce extérieur n’a pas fini de se creuser.
Il faudra en effet beaucoup de monde pour soutenir et défendre " les wokes". Nos grandes écoles d'ingénieurs et ingenieures vont etre désertées