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Face au manque d'ingénieurs, CentraleSupelec cherche à élargir son recrutement

Confronté à un vivier limité, CentraleSupelec mise sur les étudiants étrangers et les nouveaux bachelors pour « doubler le nombre de diplômés » d'ici à dix ans. Pour ces formations post-bac, les tarifs sont nettement plus élevés que ceux du traditionnel diplôme qui, eux aussi, pourraient évoluer.

CentraleSupelec, sur le campus de Paris-Saclay.
CentraleSupelec, sur le campus de Paris-Saclay. (Laurent Grandguillot/REA)

Par Marie-Christine Corbier

Publié le 9 nov. 2023 à 10:01Mis à jour le 9 nov. 2023 à 13:51

Comment répondre aux besoins de réindustrialisation et former plus d'ingénieurs avec un budget constant. C'est le défi des grandes écoles publiques, à l'instar de CentraleSupelec. L'établissement veut élargir son recrutement en attirant des étudiants internationaux sur de nouvelles formations, « coûteuses mais autofinancées ».

« On est passés de 800 à 970 élèves depuis 2018, en serrant la gestion et avec une subvention publique constante, mais ce sera compliqué d'aller au-delà sans soutien public supplémentaire, avec des frais de scolarité de 3.500 euros par an », explique le directeur général de CentraleSupelec, Romain Soubeyran, dans un entretien aux « Echos ».

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