Le ministère de la Justice vient de lancer la réserve de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ). Caroline Nisand, successeur de Charlotte Caubel au poste de directrice de la PJJ, détaille aux ASH les avantages de cet apport en compétences.
Opération portes ouvertes à la PJJ. Une cinquantaine de structures de cette administration d’ordinaire discrète accueillent, ce jeudi 23 novembre, acteurs et partenaires de la justice des mineurs, élus ou journalistes, pour faire connaître leurs missions. L’occasion aussi de médiatiser la campagne de recrutement pour la nouvelle réserve de la protection judiciaire de la jeunesse. Désireuse de voir affluer les candidats, sa directrice Caroline Nisand nous en explique la lettre et l’esprit.ASH : Dans quel contexte s’inscrit la création de cette réserve ? Vous manquez de bras ?
Caroline Nisand : Initialement, la réserve a été imaginée dans le cadre du partenariat Justice/Armée pour avoir l’opportunité de recruter des militaires. Mais au-delà…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?