Une ministre de l’Education nationale qui met ses enfants dans le privé, ça la fiche mal. Mais quand celle-ci, la toute fraîchement nommée Amélie Oudéa-Castéra, se justifie de cette polémique en dézinguant l’école publique qu’elle est censée défendre, c’est encore pire. D’autant que les arguments de l’ancienne tenniswoman de 45 ans pourraient être fragilisés par les informations recueillies par Libération. Notamment le fait que l’expérience du public par ses enfants se résume à six mois de petite section de maternelle. Tout commence vingt-quatre heures à peine après son arrivée rue de Grenelle, lorsque la ministre au portefeuille XXL (outre l’Education, il comporte les Sports, la Jeunesse et les JO), se déplace dans un collège des Yvelines au côté du Premier ministre, Gabriel Attal, vendredi 12 janvier.
Répondant aux révélatio