JO de Paris 2024: Securitas face au casse-tête du recrutement des agents de sécurité Contenu réservé aux abonnés
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Arrivé en juillet dernier aux manettes de Securitas France après avoir dirigé Securitas Belgique, Frank Lambrigts livre sa vision du secteur de la sécurité privée en France et de ses problématiques spécifiques à l'approche des Jeux Olympiques.
Par Martine Robert
Le moins que l'on puisse dire, c'est que Frank Lambrigts n'a pas choisi la facilité en prenant la présidence de Securitas France au premier juillet 2023, à l'approche des Jeux Olympiques. Quand on fait partie des leaders internationaux de la sûreté et de la sécurité, avec 358.000 salariés dans 45 pays dont 17.000 en France, on a une réputation à tenir, donc pas de droit à l'erreur.
« Nous avons candidaté à la première vague d'appels d'offres pour les Jeux mais il y avait un réel problème de prix. On ne peut pas mettre de nouveaux agents de sécurité sur de tels défis, il faut des collaborateurs expérimentés, formés en conséquence. La responsabilité est une notion clé pour nous, alors la seconde vague d'appels d'offres, nous n'y avons même pas participé », explique ce dirigeant, pas surpris de la désaffection de grandes entreprises de sécurité envers l'évènement planétaire.
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