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Une première alliance dans les petits réacteurs nucléaires

«Nos technologies sont différentes, mais nous partageons le même but», affirme Stefano Bruno, cofondateur et directeur général de Newcleo. Crédit : Newcleo

DÉCRYPTAGE - Naarea et Newcleo font front commun pour accélérer le développement de leurs projets.

L’annonce n’a rien d’anodin. Les deux premiers lauréats de l’appel à projets pour «Réacteurs nucléaires innovants» de France 2030 annoncent un partenariat stratégique. Naarea et Newcleo, tous deux lancés dans la course au développement de petits réacteurs modulaires (SMR) de quatrième génération choisissent de faire cause commune «pour répondre à une demande des autorités».

L’appel à projets lancé par le gouvernement a suscité un engouement bien supérieur à ce qui avait été anticipé. Une quinzaine de dossiers ont été déposés et huit sont d’ores et déjà lauréats. Un sésame destiné à leur apporter de la visibilité, des financements publics et privés, un accès à l’expertise du Commissariat à l’énergie atomique (CEA). Aujourd’hui, c’est la France qui compte le plus de start-up dans le nucléaire en Europe. Une dynamique directement imputable au plan France 2030. Mais la multiplication des dossiers et des technologies pose de nouveaux défis aux différentes instances. Le CEA risque d’être beaucoup…

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5 commentaires
  • Saint Thomas Taquin

    le

    La France a raté le train des SMR, tous ces projets qui bourgeonnent à droite et à gauche n'ont qu'un but : moissonner le maximum de subventions publiques avant de disparaître corps et biens.

  • anonyme 11759

    le

    Grossière erreur de donner l énergie nucléaire au privé.
    On l a vu au japon.

  • Daniel078

    le

    Le sigle anglais SMR est à éviter car le sigle français est PRM (petit réacteur modulaire), employé, entre autres, par l'AIEA. L'emploi du sigle anglais est d'autant plus à éviter qu'un PRM est une simple réalité technique, qui n'a rien de spécifiquement anglo-saxon, et il n'y a donc aucune raison de le nommer avec un sigle anglais.

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