Le prêt-à-porter et le bâtiment, deux secteurs en proie aux licenciements
À cause de l’inflation et du fait de la hausse des taux d'intérêt, le textile et le BTP souffrent particulièrement en ce moment. À la clé, de nombreuses suppressions d’emplois.
Textile
La multiplication des faillites, redressements judiciaires et plans sociaux dans la mode provoque une onde de choc sociale. Minelli, Camaïeu, Burton of London, Gap France, André, San Marina, Kaporal, Don’t Call Me Jennyfer, Du Pareil au Même, Sergent Major, Naf Naf… au plus mal quand elles ne sont pas déjà mortes, ces marques n’ont jamais autant gonflé les effectifs du chômage.
«Plus de 1100 commerces de ce secteur ont été en cessation de paiements en 2023, représentant près de 8400 emplois directs», déclare Thierry Millon, directeur des études d’Altares, spécialisé dans la donnée d’entreprises. Autant de postes menacés, même s’ils ne disparaîtront pas tous.
Liquidé en février 2023, San Marina a fermé ses 163 magasins du jour au lendemain, laissant plus de 600 salariés sur le carreau. Pimkie est toujours là. Mais l’enseigne tente de survivre à une activité toujours morose, en réduisant drastiquement la voilure. Il y a moins d’un an, Pimkie a annoncé la suppression de près de 500 postes. Il…
Tyranosaure poli
le
Mais puisque l’on vous dit que l’on manque de bras !
anonyme
le
Et oui à force d’être contre l’immobilier le bâtiment s’écroule et les faillites de constructeurs s’accumulent avec le chômage qui augmente Le président ne connaît pas l’adage « quand le bâtiment va, tout va »
C’est la base de l’économie d’un pays
Pyrene
le
Et Macron se félicite toujours que la France " progresse". Il doit être un peu fou..