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Mode : le bilan qui fait craindre de nouvelles sorties de route 

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Les enseignes de prêt-à-porter sont fragilisées par la concurrence de nouveaux entrants, alors que l'inflation pousse les Français à faire des arbitrages. Comme les dernières années, 2024 s'annonce difficile pour le secteur dans un marché morose et encombré.

Le magasin éphémère Shein, ouvert à Paris le 4 mai 2023 ; le chinois de l'ultra-fast fashion utilise les codes des marques de prêt-à-porter.
Le magasin éphémère Shein, ouvert à Paris le 4 mai 2023 ; le chinois de l'ultra-fast fashion utilise les codes des marques de prêt-à-porter. (Christophe Archambault/AFP)

Par Virginie Jacoberger-Lavoué

Publié le 15 févr. 2024 à 09:11Mis à jour le 15 févr. 2024 à 16:24
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C'est un coup de frein qui dure et aura encore de redoutables conséquences. Les ventes d'habillement n'ont pas toujours retrouvé leur niveau d'avant la pandémie en France, et les années noires se suivent et se ressemblent pour les enseignes du secteur.

Hors accessoires, la consommation d'habillement et de textile en France a atteint 27 milliards d'euros l'an passé, contre plus de 28,4 milliards d'euros en 2019, indique l'Institut français de la mode. Les ventes sont en repli de 1,3 % en valeur et de 4 % en volume. Seule la mode masculine reste légèrement en croissance, à +0,6 %.

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