Immobilier : la prometteuse mais délicate conversion des bureaux en logements Contenu réservé aux abonnés
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La conversion de bureaux « obsolescents » s'impose désormais comme un axe majeur pour relancer l'offre de logements. Le montage des opérations implique toutefois de résoudre des contraintes techniques et de leur assurer une rentabilité.
Alors que la démarche séduit toujours plus d'acteurs de l'immobilier, comme en témoigne une récente annonce d'Icade , la conversion de bureaux en logements est aussi désormais appelée à s'amplifier sous l'impulsion du gouvernement Attal.
En en faisant l'un des axes de sa politique de relance de la production de logements, le Premier ministre a donc fait sien un constat de bon sens : la démarche offre de précieuses opportunités alors que la problématique de la ZAN (zéro artificialisation nette des sols) réduit les possibilités de construire, que certains maires peinent à libérer leur foncier, que bien des immeubles de bureaux sont condamnés par la récente et brutale transformation du monde du travail - travail à distance, bureau partagé -, sans parler des conséquences de leur impérative rénovation thermique avec la mise en oeuvre du « décret tertiaire ».
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