Dans les vingt-six maisons d’Opéra de province, c’est la crise. Les productions se montent à l’euro près. Les subventions stagnent ou reculent. Et le mécénat marque le pas. Une menace réelle de fermeture pèse sur certaines institutions…
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Publié le 26 février 2024 à 06h30
Mis à jour le 26 février 2024 à 17h23
Trente ans que Lohengrin n’a pas été joué à l’Opéra national du Rhin. À quelques semaines de la première, les répétitions ont commencé au Grenier d’abondance, à Strasbourg, un imposant bâtiment qui jouxte l’antique théâtre de la place Broglie. Ici, l’opéra se fabrique partout. Dans les ateliers de couture, de perruques, d’accessoires ; dans la cordonnerie, les studios de répétition et la grande salle au rez-de-chaussée dont les dimensions sont identiques à celles de la scène. Cet après-midi, la mezzo-soprano Anaïk Morel et le baryton-basse autrichien Josef Wagner entonnent l’acte II du blockbuster wagnérien. Comme toujours dans les répétitions, les deux
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