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Décryptage

A contre-courant, le bio fait recette chez les start-up 

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Bene Bono et La Fourche, deux jeunes pousses du secteur qui ciblent les particuliers, viennent de lever des fonds alors que la vente de produits alimentaires bio reflue dans l'Hexagone.

Selon les chiffres de l'Agence bio, la part du bio dans les ventes alimentaires a baissé de 2,7 % en valeur et de 10 % en volume en 2023.
Selon les chiffres de l'Agence bio, la part du bio dans les ventes alimentaires a baissé de 2,7 % en valeur et de 10 % en volume en 2023. (Alexandre Alloul/Bene Bono)

Par Camille Wong

Publié le 5 mars 2024 à 08:01Mis à jour le 5 mars 2024 à 08:11
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Si la foodtech est à la peine, certaines start-up parviennent à sortir du lot. La tâche n'est pourtant pas aisée : l'approche est souvent BtoC, donc assez gourmande en capitaux, et le fonctionnement a une forte composante opérationnelle, avec des entrepôts, des flux logistiques à gérer et des stocks.

« Le capital-risque est plus frileux aujourd'hui et beaucoup de fonds ne regardent pas ce type d'investissement. Certains ont en mémoire l'échec du ' quick commerce ', même si le modèle n'a rien à voir avec le nôtre », remarque Grégoire Carlier, le cofondateur de Bene Bono, une start-up dans l'antigaspi qui livre des fruits et légumes bio (surproduits ou dont les standards esthétiques ne répondent pas à la grande distribution) récupérés chez les producteurs.

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