A contre-courant, le bio fait recette chez les start-up Contenu réservé aux abonnés
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Bene Bono et La Fourche, deux jeunes pousses du secteur qui ciblent les particuliers, viennent de lever des fonds alors que la vente de produits alimentaires bio reflue dans l'Hexagone.
Par Camille Wong
Si la foodtech est à la peine, certaines start-up parviennent à sortir du lot. La tâche n'est pourtant pas aisée : l'approche est souvent BtoC, donc assez gourmande en capitaux, et le fonctionnement a une forte composante opérationnelle, avec des entrepôts, des flux logistiques à gérer et des stocks.
« Le capital-risque est plus frileux aujourd'hui et beaucoup de fonds ne regardent pas ce type d'investissement. Certains ont en mémoire l'échec du ' quick commerce ', même si le modèle n'a rien à voir avec le nôtre », remarque Grégoire Carlier, le cofondateur de Bene Bono, une start-up dans l'antigaspi qui livre des fruits et légumes bio (surproduits ou dont les standards esthétiques ne répondent pas à la grande distribution) récupérés chez les producteurs.
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