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Le transport fluvial a bu la tasse en 2023 
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Les deux principaux secteurs utilisateurs des fleuves et canaux français, le BTP et les céréales, ont connu un reflux d'activité l'an dernier. La logistique urbaine fluviale se développe, mais sur des bases encore modestes.

Une péniche naviguant sur la Seine avec des graviers. Le secteur du transport fluvial a subi l'impact des difficultés du BTP.
Une péniche naviguant sur la Seine avec des graviers. Le secteur du transport fluvial a subi l'impact des difficultés du BTP. (Laurent Grandguillot/REA)

Par Denis Fainsilber

Publié le 8 mars 2024 à 16:49Mis à jour le 8 mars 2024 à 18:03
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Tenu pour plus écologique que les camions, même si les péniches carburent souvent au diesel, le transport fluvial de marchandises a connu un net reflux d'activité l'an dernier, tiré à la baisse par ses grands donneurs d'ordre.

Le trafic total s'est élevé à 43,4 millions de tonnes, en recul de 10 % aussi bien en tonnage brut qu'en tonnes/km, selon Voies navigables de France (VNF), l'établissement public chargé de gérer les 6.700 km navigables du réseau de fleuves et canaux. Cela représente néanmoins l'équivalent de 2,17 millions de camions évités sur les routes dans l'année, selon la même source.

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