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«Quand je serai grande, je serai chef d’orchestre…»: les femmes à la baguette

Stephanie Childress, lors de la finale de la 1re édition de La Maestra, en 2020. La lauréate l’affirme: «Je peux dire sans exagérer que le concours a été un accélérateur majeur pour ma carrière.» Masha Mosconi/La Maestra

RÉCIT - Alors que s’ouvre cette semaine la 3e édition du concours de direction La Maestra, les femmes chefs semblent devenues incontournables sur les scènes internationales.

Quatorze: c’est le nombre de femmes chefs qui se disputeront le titre de «Maestra» lors de la 3e édition du concours éponyme, organisé par la Philharmonie de Paris et le Paris Mozart Orchestra. Âgées de 19 à 42 ans, de douze nationalités, elles ont été choisies parmi 197 candidates de 47 pays… «Dont certains se présentaient pour la toute première fois, comme l’Azerbaïdjan ou la Palestine, se réjouit sa cofondatrice Claire Gibault. Qui souligne que, depuis le lancement de la compétition, en 2020, le niveau ne cesse de monter.» La portée de la manifestation aussi: depuis la première édition, nombreuses sont les lauréates qui mènent aujourd’hui une carrière internationale. Au premier rang desquelles la Franco-Britannique Stephanie Childress. À 25 ans, elle vient d’être nommée principale chef invitée de l’Orchestre symphonique de Barcelone, après avoir été assistante à l’orchestre de Saint Louis, dans le Missouri. «Ils m’avaient découverte en voyant les images de La Maestra. Je peux dire sans…

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6 commentaires
  • montaphilant

    le

    La seule question intéressante est de savoir si de la gent féminine pourra surgir une Toscanini, une Furtwängler, une Richard Strauss, une Karajan, une Monteux, une Münch, une Rattle, une Abbado, etc.... Bizarrement, j'ai quelques doutes. Il faut une formidable autorité et une puissance physique qui ne me paraissent pas vraiment compatibles avec la complexion féminine. L'avenir (assez lointain) le dira. Aujourd'hui, je ne suis franchement pas "emballé" par les directions d'orchestres symphoniques d'une certaine masse par des femmes.

  • anonyme 114229

    le

    Je ne supporte pas les femmes chef d'orchestre. Ellees gesticulent et tressautent sans cesse. Pénible.

  • Anonyme

    le

    Merci à Télérama de mettre l'accent sur ce drame du manque de chefs d'orchestre femmes de l'Azerbaidjan.
    En effet, ça manque vraiment...
    Pour me remettre de cette catastrophe, je vais réécouter le Cosi de Karajan.

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