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Chronique

Sciences : sortir de la peur de l'échec 

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Plutôt qu'un symptôme générationnel, le désamour des jeunes pour les sciences au lycée comme dans le supérieur serait dû à la pédagogie, estime Laurent Champaney.

Le phénomène de désaffection pour les sciences dures est clairement visible dans les écoles d'ingénieurs.
Le phénomène de désaffection pour les sciences dures est clairement visible dans les écoles d'ingénieurs. (Shutterstock)

Par Laurent Champaney (Directeur général de l'Ecole Nationale Supérieure des Arts et Métiers)

Publié le 14 mars 2024 à 09:30Mis à jour le 14 mars 2024 à 10:07
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A l'heure où bien maîtriser les limites des enjeux physiques du monde qui nous entoure semble vital, on constate une désaffection toujours plus grande des jeunes pour l'apprentissage des sciences.

Avec la dernière réforme du baccalauréat, qui a supprimé la filière scientifique d'excellence ouvrant les portes les plus convoitées de l'enseignement supérieur, cet effet est encore plus marqué. Et la désaffection est encore plus forte chez les jeunes femmes et encore plus visible dans les milieux les moins favorisés.

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