Longtemps considérés comme des sources de problèmes, les juristes territoriaux occupent désormais une place stratégique dans les collectivités. N’en déplaise à certains élus encore réservés devant ce positionnement.
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De « l’empêcheur de tourner en rond au faiseur de solution ». Voilà comment Gaëlle Bedin-Bruchet, directrice des affaires juridiques à Achères (1), pourrait résumer l’évolution du métier de juriste. Très souvent considéré comme un censeur, un instigateur de problèmes, il s’est mué depuis plusieurs années en accompagnateur. « Un rôle beaucoup plus confortable dans les relations internes », reconnaît-elle. De nos jours, le juriste est considéré comme une personne-ressource jusque dans les organigrammes où il apparaît dans les pôles du même nom. « La crise du Covid a eu l’avantage de remettre le juriste au centre de la place du village, estime Denis Enjolras, directeur des affaires juridiques et de la commande publique de la ville de Bron (2). Il est là pour rassurer mais aussi pour être ...
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Ces juristes territoriaux qui dépoussièrent leur métier
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