Santé : des gestes en faveur des infirmiers libéraux Contenu réservé aux abonnés
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Face à des infirmiers qui réclament des hausses de revenus et s'agacent des règles de facturation de leurs interventions, l'Assurance Maladie et le gouvernement promettent de clarifier les règles du jeu. La refondation du métier promise se fait encore attendre.
Le gouvernement et la Sécurité sociale tentent de répondre à la grogne des infirmiers libéraux. Alors que certains étaient de nouveau dans la rue jeudi pour réclamer une hausse de leurs revenus, l'Assurance Maladie va ouvrir à la mi-avril des discussions avec les syndicats sur des sujets touchant à la rémunération de ces professionnels considérés comme clés à l'heure de l'avancée des déserts médicaux.
Dans un courrier envoyé aux syndicats infirmiers et consulté par « Les Echos », l'Assurance Maladie dit vouloir avancer « concrètement » sur les règles de facturation des infirmiers. Nombre d'entre eux s'agacent que l'Assurance Maladie vienne leur réclamer des « indus », c'est-à-dire des sommes qui auraient été facturées à tort à la Sécurité sociale. « C'est un problème important », assure Daniel Guillerm, du syndicat FNI. « Ils récupèrent des sommes, alors que toutes ne sont pas liées à de la fraude. »
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