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Témoignage

Paris 2024 : «C’est rare que les gens voient les résultats de leur combat de leur vivant», trois décennies de Jeux paralympiques vues par Ryadh Sallem

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Fin août, l’athlète de 53 ans disputera ses septièmes Jeux. Ses premiers, c’était à Barcelone, en 1992. Le temps d’un après-midi, il est revenu pour «Libé» sur ses multiples expériences paralympiques et sur l’évolution du mouvement.
Le sportif Ryadh Sallem, à Paris, le 14 août 2024. (Cha Gonzalez/libération)
publié le 16 août 2024 à 8h10

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Trouver des archives des Jeux paralympiques est un casse-tête. Les récits des épreuves sont rares, les traces des résultats sportifs aussi. Se plonger dans les souvenirs de Ryadh Sallem, c’est tout l’inverse : on y dépoussière des anecdotes à n’en plus finir. A 53 ans, l’homme aux interminables dreadlocks, né sans jambes et avec une seule main, disputera fin août ses septièmes Jeux paralympiques. De la morosité d’Athènes à la ferveur de Londres, de l’absence de médiatisation dans les années 90 aux centaines d’heures de direct à la télévision aujourd’hui, du basket au rugby en passant par la natation, Ryadh Sallem a tout connu. Le temps d’un après-midi, vingt-huit ans après sa première apparition dans nos colonnes, il a accepté de revenir pour Libé sur ses souvenirs, Jeux par Jeux, bien aidé quand sa mémoire lui faisait défaut pa

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