Qui a peur de Parcoursup ? Enquête sur la plateforme qui concentre les critiques
Publié le , mis à jour le
RAPHAELLE MACARON POUR « LE NOUVEL OBS »
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Décryptage La plateforme centralisée d’accès aux études supérieures est devenue le grand rite d’entrée dans la vie adulte, remplaçant celui du baccalauréat, diplôme désormais dévalorisé. Depuis sa création il y a sept ans, les critiques ne cessent toutefois de pleuvoir, à gauche comme à droite, ciblant son effet discriminant à l’encontre des classes populaires ou, au contraire, des classes favorisées. Parcoursup, symptôme de nos divisions ?
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Pour aller plus loin
Vous ne connaissez pas Parcoursup ? Comment est-ce encore possible ? Non seulement, depuis son lancement en 2018, la plateforme d’accès aux études supérieures destinée aux élèves de terminale (et aux étudiants en réorientation) est devenue familière de millions de jeunes Français et de leurs parents, mais elle fait désormais partie de ces objets politiques, sources de débats passionnés, sur lesquels chacun se doit d’avoir une opinion.
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François Bayrou en a d’ailleurs fait une « question » dans son discours de politique générale, le 14 janvier, estimant que, tels de petits « poireaux », « nos enfants ne poussent pas tous à la même vitesse », et que la plateforme ne prenait pas assez en compte cette hétérogénéité. Le ministre de l’Enseignement supérieur, Philippe Baptiste, a coupé court aux spéculations, précisant que l’existence de Parcoursup – dont la session 2025 vient d’ouvr…
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