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Sur la Seine, la jeune création parisienne défile aussi

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Défilés de Lee Sojung, Jason Clark, Lee Amshidilarijani et Sara Steven-Chevallier.
Défilés de Lee Sojung, Jason Clark, Lee Amshidilarijani et Sara Steven-Chevallier. Guillaume Roujas.

C’est désormais une tradition d’ouvrir la semaine des collections de Paris avec le défilé des diplômés de l’IFM (Institut Français de la Mode), l’édifice vert pomme accrochée au quai d’Austerlitz.

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Cette promotion de 26 étudiants (de 13 nationalités) du Master en design de mode, a donc étrenné, après 18 mois de cursus, son premier podium devant un public de professionnels, PDG, acheteurs, journalistes. « Le meilleur front row de la Fashion Week, c’est là qu’il faut arriver à l’heure si tu veux faire ton réseau », nous dit une acheteuse arrivée… en retard. « Ces collections diverses et uniques reflètent une grande variété de recherches personnelles et de questions sociales, de la mémoire collective aux déclarations politiques et de l’intelligence artificielle à l’héritage vernaculaire », explique le texte du livret où sont indiqués les noms de chaque candidat. C’est sûr, l’énergie est là. Dans une saison de transition où des têtes d’affiche ne défilent pas et où certaines collections sont signées par des studios, la jeune création est particulièrement visible.

Les talents de l’IFM vont poursuivre par un stage de six mois avant de se lancer à leur tour dans la vie professionnelle, au sein de studios de maisons ou sur les podiums, en leur nom. Si ce défilé n’est pas un concours, nous avons tout de même notre préféré, Jason Clark et sa collection Servant in Heaven, Ruler on Hell, développée avec le soutien des spécialistes du cuir Alex & Co et les magiciens de la teinture Les Teintures de France. « C’est tellement abouti qu’on pourrait l’avoir déjà en boutique », s’enthousiasme notre acheteuse, qui n’a pas perdu son temps.

Jason Clark et sa collection Servant in Heaven, Ruler on Hell, développée avec le soutien des spécialistes du cuir Alex & Co et les magiciens de la teinture Les teintures de France. Guillaume Roujas

Sur la Seine, la jeune création parisienne défile aussi

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4 commentaires
  • HERTHA NEUMANN

    le

    C‘est la plus laide possible. Hertha Neumann
    Autriche

  • Paris36

    le

    C'est laid et ridicule.

  • DidierLAGARDE

    le

    Sur la photo, des tenues que personne ne portera

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