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Pourquoi la chasse aux économies dans les «1000 agences et organes» de l’État s’annonce difficile

Une commission d’enquête sénatoriale se penche sur les missions de ces structures afin de déterminer si elles sont vraiment utiles.
Une commission d’enquête sénatoriale se penche sur les missions de ces structures afin de déterminer si elles sont vraiment utiles. François BOUCHON/Le Figaro

Alors que les ministères doivent réduire de 3 milliards d’euros les dépenses des opérateurs de l’État en 2025, une commission d’enquête sénatoriale tente d’y voir plus clair dans le maquis de ces organismes.

François Bayrou lui-même, dès sa déclaration de politique générale, avait pointé du doigt « plus de 1000 agences, organes ou opérateurs » exerçant l’action publique comme un potentiel gisement d’économies. Parmi eux, les 434 opérateurs (402.000 emplois) chargés de mettre en œuvre des politiques définies par l’État représentent un budget de 77 milliards d’euros en 2025. Depuis un mois, une commission d’enquête sénatoriale se penche sur les missions de ces structures afin de déterminer si elles sont vraiment utiles, ne doublonnent pas avec certaines administrations et, in fine, ne grèvent pas nos finances publiques.

Dans cette myriade d’entités aussi variées que les universités, l’Inserm ou l’Académie de France à Rome, certaines cristallisent les critiques. L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), chargée de distribuer les aides à la transition énergétique, en fait partie : à droite, on juge ses missions redondantes avec celles d’au moins deux autres opérateurs…

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43 commentaires
  • Gauloise sans filtre

    le

    On peut recaser les gens pour remplacer les fonctionnaires partant à la retraite la ou on en a besoin. Cela éviterait de recruter ou de faire appel, comme cela se fait de lux en plus, aux apprentis.

  • dufesner

    le

    régler le chauffage sur la fonction "hors gel"

  • 4067487 (profil non modéré)

    le

    Les Pavillons France.. dans les grands salons internationaux.. toujours réservés aux plus grandes entreprises (type TAHLES) qui pourraient se financer tandis que les petites PME sont obligées de se joindre a plusieurs pour se partager un petit stand.. c'est du vécu.. tout est a revoir.. c'est a l'image de la mission des attachés militaires a l'étranger.. plus occupés a préparer leur avenir comme commerciaux dans ces grandes entreprises qu'a faire la promo des PME..

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