Cet article vous est offert
Pour lire gratuitement cet article réservé aux abonnés, connectez-vous
Vous n'êtes pas inscrit sur Le Monde ?

Parcoursup : un futur agrément ministériel sera obligatoire pour les établissements privés lucratifs

Le ministre de l’enseignement supérieur, Philippe Baptiste, a annoncé, mardi 13 mai, son souhait de présenter un projet de loi visant à garantir la qualité des établissements privés qui intégreront la plateforme publique d’affectation.

Par 

Publié le 14 mai 2025 à 13h01, modifié le 14 mai 2025 à 16h56

Temps de Lecture 3 min.

Article réservé aux abonnés

Philippe Baptiste, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, à l’Assemblée nationale, à Paris, le 8 avril 2025.

Une première étape a enfin été franchie afin de réguler le secteur en forte croissance de l’enseignement supérieur privé. Philippe Baptiste, ministre chargé de l’enseignement supérieur et de la recherche, a clarifié ses intentions, mardi 13 mai, devant un parterre d’acteurs de l’enseignement supérieur. « Plus l’établissement s’engagera dans l’intérêt général, plus il bénéficiera de prérogatives et de soutien de l’Etat », a-t-il promis.

Le ministre souhaite déposer un projet de loi d’ici à septembre pour créer une nouvelle forme de reconnaissance ministérielle, l’« agrément », qui sera un prérequis pour qu’un établissement de l’enseignement privé lucratif puisse proposer ses formations sur la plateforme Parcoursup à la rentrée 2027.

Une concertation d’un mois doit s’ouvrir avec l’ensemble des représentants d’établissements, publics comme privés, à laquelle sont aussi conviés les députés de Paris Emmanuel Grégoire (Parti socialiste) et Jean Laussucq (Renaissance) qui ont porté des propositions de loi sur le sujet, finalement non retenues par la présidence de l’Assemblée nationale.

Il vous reste 78.72% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Lecture du Monde en cours sur un autre appareil.

Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois

Ce message s’affichera sur l’autre appareil.

  • Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.

    Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).

  • Comment ne plus voir ce message ?

    En cliquant sur «  » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.

  • Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?

    Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.

  • Y a-t-il d’autres limites ?

    Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.

  • Vous ignorez qui est l’autre personne ?

    Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

Lecture restreinte

Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article

Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.