Résumé : |
Après la loi du 11 février 2005, la voie de l’inclusion semblait enfin tracée. Pourtant, l’accès des enfants handicapés aux milieux ordinaires reste dérisoire au regard des besoins et des intentions affichées. Un état de fait regrettable, enraciné dans des décennies d’approches conservatrices du handicap. |