Résumé : |
Pour répondre à l’urgence climatique, encore faut-il y être formé. Dans toutes les disciplines, une vague de nouveaux masters déferle.
Dans les rangs étudiants, la question n’est plus de savoir si l’on veut avoir un impact positif sur la planète, mais comment. Léa Le Berre, ingénieur agroalimentaire de formation, a longtemps hésité au cap qu’elle souhaitait donner à sa carrière. «J’avais pris la spécialité Environnement dans mon cursus, mais ce choix manquait d’alignement avec les critères que je me fixais. Mon impact n’était pas suffisant », estime-t-elle. |