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"On est un peu vus comme des sous-médecins" : pourquoi la santé publique peine à attirer les internes
Editeur : groupe Global Média Santé - egora.fr
Chaque année, la santé publique est délaissée par les internes. En 2024, seuls 26% des postes de la spécialité ont été pourvus. Une situation dont se désole l'Association nationale des internes de santé publique (CLISP*). Cette spécialité "est peu connue" et elle "s'éloigne de la vision traditionnelle du médecin qui voit ses patients tous les jours", avance Bérenger Thomas, interne en santé publique à Paris et ancien président du CLISP. L'actuel chargé de promotion de la spécialité pour l'association revient pour Egora sur les raisons de ce désintérêt. Interview.
Descripteurs : médecine ; santé publique
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