Résumé : |
S’il y a bien un secteur qui paye au prix fort la quasi-disparition des déplacements professionnels, c’est le transport aérien. Les voyageurs d’affaires ont déserté les avions depuis le début de la pandémie en mars. Et, avec la détérioration récente de la situation sanitaire, les perspectives pour la rentrée ne sont pas réjouissantes sur ce segment. «Pour septembre et octobre, l’industrie n’a pas ou peu de réservations faites par les entreprises», soupire Alain Battisti, président de la Fnam (Fédération nationale de l’aviation marchande). |