Résumé : |
Après la mise en place du RGPD en 2018, le ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion en partenariat avec l’AFPA étudie depuis deux ans, au-delà des enjeux légaux et de gouvernance, l’évolution de la fonction de DPD (délégué à la protection des données) vers un métier intégré dans les organisations. Une initiative qui a reçu le soutien de la CNIL, de l’AFCDP et de l’APEC.
Un métier à part entière
89 % des DPO interrogés en 2019 considéraient cette fonction comme un métier à part entière. Cela signifie que l’exercice de cette fonction nécessite des compétences précises, des activités et des tâches professionnelles qui peuvent être définies et structurées et pour lesquelles on peut être formé.
Les DPO sont convaincus de l’utilité de leur fonction. Cette dimension dépasse le cadre de l’organisation avec 93 % des DPO qui sont convaincus de l’utilité sociale de leur fonction. Une conscience numérique au service de la confiance numérique.
Des profils qui se diversifient
Ils ont des profils diversifiés en matière de niveau de qualification et domaines de compétences. Leur positionnement au sein des organisations de travail est également hétérogène.
Pour comprendre, plus en détails, l’évolution de ce métier, retrouvez les résultats de l’étude réalisée auprès de 1600 DPO avec un focus réalisé sur le positionnement et moyens du DPO dans les organisations. |