Résumé : |
DÉCRYPTAGE - Autorisée depuis le 5 novembre, la mise en place de l’enseignement hybride se fait en ordre dispersé. /// Un peu plus de la moitié des lycées a basculé dans l’enseignement «hybride», indiquait Jean-Michel Blanquer mi-novembre. Sous la pression des syndicats enseignants, qui ont dénoncé un protocole sanitaire inapplicable, le ministre de l’Éducation avait lâché du lest, au début du mois, en ouvrant la porte au «distanciel» dans les lycées. Est-ce judicieux alors que l’épidémie recule et que cette situation aboutit, de fait, à une rupture d’égalité? /// Au lycée Arago, à Paris, la moitié des élèves est en classe : REPORTAGE - Ce lycée parisien propose une formule hybride qui permet de faire avancer les cours à «un rythme presque normal». Pour le moment, seule une minorité d’établissements l’ont mise en place. |